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2 mai 2016 à 18:26

ASPTT 2 – 1 CEPET (1-0)

ASPTT 2 – 1 CEPET (1-0)
Buteurs : John et Alain le Jeune

Sur notre lancée positive, nous recevons CEPET avec une certaine assurance, même si nous sommes toujours privés de Cyril, de 2 Daniels et des 2 Patricks.
En première mi-temps, nous avons le vent dans le dos et nous marquons très rapidement sur un corner cafouillé par la défense adverse et par l’inévitable John.
D’ailleurs mon clavier associe immédiatement « marquer » avec « John ». J’ai essayé avec « Olivier » mais ça ne marche pas. Vous en pensez quoi ?
Autre chose, quand je tape Vincent, j’obtiens une ribambelle de mots et de signes bizarres, dans une drôle de langue, qui envahissent l’écran.
Je ne comprends vraiment pas. Quelqu’un peut-il m’aider ?

Sur cette planche, on reconnait facilement qui vous savez en train de replacer un d’entre nous (Fred Bielle peut-être ?) avec l’intervention modératrice de notre Coach.
Bon, ce n’est certainement pas le plus beau but de John mais il compte bien. Nous nous créons quelques occasions supplémentaires mais nous laissons aussi beaucoup d’initiatives à nos adversaires.
Nous finissons cette 1ère période en tirant la langue et il s’en faut alors vraiment de peu qu’ils n’égalisent tant ils multiplient les occasions franches. Notre défense, Martial en tête, tient bien le choc, mais c’est surtout la maladresse de nos adversaires qui nous sauve, notamment quand un des leurs ne parvient pas à cadrer à 5 mètres de nos buts après un tir sur la transversale.

En début de seconde mi-temps, contre le vent nous subissons comme prévu le jeu, mais parvenons dans un premier temps à résister sans qu’ils se créent d’énormes occasions, avec peut-être un peu plus de densité et d’application défensive.
La dernière demi-heure est en revanche nettement à notre avantage avec un jeu souvent bien léché à base de passes dans les pieds et en utilisant bien les côtés. Notre défense prend le pas sur leur attaque et remonte très proprement les ballons, Alain S, notre Jack Lang ou notre Rensenbrick à nous, se montre à son avantage et décoche de beaux centres de la gauche.

John et Alain le Jeune se multiplient au milieu, Fred R anime le côté gauche et Olivier l’Ancien travaille en position d’avant centre.
Insistons aussi sur quelques très belles sorties de Martial qui coupe leurs rares contres, notamment quand il parvient à plonger dans les pieds d’un de leur attaquant seul face à lui.
C’est à nous de nous créer quelques occasions franches mais que nous ne réussissons pas à transformer. Les minutes passent en notre faveur et nous parvenons enfin à tuer le match dans les derniers instants par Alain Le Jeune bien décalé sur la droite de la surface après une remarquable séquence de jeu : succession de passes à deux touches de balle et vers l’avant (!!).
L’ambiance redevient légère et c’est avec le sentiment du devoir accompli que nous quittons l’enceinte sportive vers notre club-house à nous animé par un Jo des grands soirs.

Et là c’est le drame. Il y de la langue de bœuf au menu. Surprise, ceux qui en manquent le moins, qui l’ont bien bien pendue, qui ont parfois presque un air de famille avec l’animal, manifestent leur désapprobation et demandent une grillade à la place. Un comble !
*
La langue de Jo était pourtant délicieuse, finement râpeuse, onctueuse. Ce sont nos adversaires qui s’en sont le plus régalés, en connaisseurs.
Au cours du repas, les discussions portent notamment sur la sur-activité (sur le terrain, s’entend, en dehors, aucune information n’a encore fuité sur le sujet) de John qui est célébrée, certains diront ironiquement, par Fred.
Olivier le Jeune nous parle d’une superbe action qu’il aurait réalisée un soir avec une reprise de volée qui se serait écrasée sur la transversale. Même si votre serviteur a beaucoup de mal à retenir actuellement les faits de jeu (je pense devoir bientôt prendre des notes à la mi temps et à la fin du match), l’intéressé lui-même s’embrouille quand il le raconte et les autres convives impliqués dans la conversation ne semblent pas non plus s’en rappeler. Bon vu l’état des troupes en fin de repas, une amnésie partielle reste possible. Feraient mieux de manger du poisson, fumé bien entendu.

 

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