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11 janvier 2017 à 19:27

Bonito du 6 janvier 2017 (et oui, déjà !)

Bonito du 6 janvier 2017 (et oui, déjà !)

 

En ce premier tournoi de l’année 2017, nous nous retrouvons avec grand plaisir. Au moins pour certains car ce soir-là, je joue dans l’équipe « Punchies » avec Philippe ! Et accessoirement, ce qui relève forcément le niveau, avec la Suet family.

GSO (Gérard Soussan Organisation) a nommé les autres équipes : celle des« Variety » (Henri, Christophe B., Alain B., Guilhem et Benoît), l’équipe « To be 5 » (Gérard, Didier, Olivier N., Cyril et John) et celle des « Fifties-2 » composée de Christophe C, Fred S. et la brochette de Daniel M., C. et Yannick.

Si vous êtes d’accord, et vous l’êtes à l’évidence, nous garderons cet ordre pour le classement final, l’équipe blanche étant la première, la jaune terminant seconde, la bleue troisième et la dernière la « pôvre » rouge ce qui, avouons-le, facile grandement le compte-rendu. Nul calcul d’apothicaire où les uns et les autres revendiqueraient qui un point, qui un but, qui une faute non sifflée. Donc, à l’unanimité, déclarons, avec votre accord, l’équipe blanche vainqueur du tournoi.

Bien sûr, nous reviendrons sur quelques actions, notamment celle des Daniels qui se mettent à deux pour nous marquer un but. Nous raconterons comment Philippe ayant compris que son équipe perdait un peu, commençait à râler « grave  de chez grave » quitte à marquer contre son camp. Mais cet être sensible qui ne veut pas être à côté d’Olivier ou de moi sur la photo, change du tout au tout lorsque Sylvain lui envoie une balle qu’il reprend de volée et met dans les buts adverses. La belle action laisse éclater un bonheur soudain chez ce garçon. Accessoirement, nous retrouvons un joueur !

Nous évoquerons seulement le but de Benoît après une belle action collective de son équipe, but en finesse mais qui n’est pas suffisant et enfin, nous laisserons sous silence la sévère défaite des « bleues » qui ont pris cher face à l’équipe « blanche » qui a fait feu de tout bois selon les expressions consacrées. Fred R. était sur la touche pour nous donner les arrêts de match et les changements et nous houspiller par la même occasion. Et même absent, on entendait Papi Claude nous remotiver.

Enfin, après une heure de jeu, nous avons pris notre douche sous laquelle se sont révélés quelques éléments d’une partie des choeurs de l’armée rouge. Puis on a rejoint le restaurant et ou plutôt « ils ont rejoint » car je les ai laissé, j’avais « arbre » chez joli papa le demain matin !

 

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